Mauvaise habitude On ne devrait jamais parler de « l’animal »
Ce contenu est, implicitement ou non, plutôt défavorable au changement de statut des animaux en tant qu’êtres soumis aux caprices de la brutalité humaine.
Contenu issu d’un livre, d’une revue, d’un magazine
La question de l’animal revient dans tous mes textes, depuis le début.
Quand on dit « l’animal », on a déjà commencé à ne plus rien comprendre.
Il n’y a pas de raison qu’on mette dans la même catégorie d’animal le singe, l’abeille, le serpent, les chiens, les chevaux, les anthropoïdes ou les microbes. Ce sont des types d’organisation de la vie radicalement différents.
Il y a très peu de philosophes qui n’ont pas cédé à ce préjugé sur l’animal.
La question de l’animal revient dans tous mes textes, depuis le début.
Quand on dit « l’animal », on a déjà commencé à ne plus rien comprendre.
Il n’y a pas de raison qu’on mette dans la même catégorie d’animal le singe, l’abeille, le serpent, les chiens, les chevaux, les anthropoïdes ou les microbes. Ce sont des types d’organisation de la vie radicalement différents.
Il y a très peu de philosophes qui n’ont pas cédé à ce préjugé sur l’animal.