
Ce problème de maltraitance publique, en plus d’apparaître comme culturel, relève surtout d’un manque d’empathie total pour l’animal.
L’éthique musulmane condamne fermement la cruauté faite aux animaux.
Le Coran affirme ainsi : « Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communautés. » (Coran, 6,38).
La Tradition rapporte aussi de nombreuses communications orales du Prophète Mohammed relatif à sa bonté envers les animaux, comme par exemple celle-ci :
« Une femme a été envoyé direct en Enfer à cause d’une chatte qu’elle avait enfermée jusqu’à ce qu’elle pérît. Elle l’avait enfermée sans la nourrir ni l’abreuver et avait refusé de la libérer pour qu’elle puisse se nourrir elle-même à l’extérieur. »